Mercredi 9 juin à 15h, je rejoins une réunion sur la refonte de notre entonnoir de ventes avec Florian, responsable commercial pour les startups et Alex, responsable commercial pour les ETIs.
Il s’agit de leur deuxième réunion sur le sujet et j’y ai été invitée car mon équipe va contribuer à cette refonte.
Florian : "Je pense que les personnes qui ont participé récemment à un de nos événements devraient être considérées comme des contacts acquis actifs. On devrait donc leur porter une attention particulière."
Alex : "Est-ce qu’ils ne devraient pas avoir fait d’autres actions en plus pour être vraiment considérés comme des contacts acquis actifs ? Il faut qu’on puisse considérer qu’ils sont véritablement engagés avec NUMA."
La discussion se poursuit comme ça pendant une bonne quinzaine de minutes sans qu’on avance vraiment. Je prends le sujet en cours donc j’essaye de raccrocher les wagons : j’ai du mal à discerner si c’est moi qui ai l’impression que ça n’avance pas parce que je ne comprends pas bien les termes ou s'il y a un réel manque d’alignement. Je me sens un peu bête de poser la question, mais je me lance.
“Question sûrement très basique mais comme je viens d’arriver sur le projet, ça m'aidera à comprendre les enjeux : comment est-ce que vous distinguez un contact acquis actif d'un contact acquis inactif ?”
Leurs réponses révèlent qu’en fait… Ils n'avaient la même définition de ces deux termes. Pas étonnant que la discussion patine depuis déjà deux réunions.
On décide donc de reprendre le sujet à la base et dédier la suite du meeting à un objectif simple : s’aligner sur la distinction entre ces deux typologies de contacts.
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