Dans de nombreuses entreprises, la productivité est encore perçue comme une question de volume. On croit souvent que plus on en fait, mieux c’est. Pourtant, cette vision est trompeuse. Être productif ne consiste pas à faire davantage, mais à mieux utiliser son temps, son énergie et son attention. La vraie productivité repose sur trois piliers : la qualité du travail réalisé, son alignement avec les priorités de l’entreprise et la gestion efficace des ressources. Gagner en productivité, c’est donc apprendre à travailler mieux, à faire ce qui a du sens, et à éviter de disperser ses efforts.
Ces compétences ne s’improvisent pas : elles se développent avec de la méthode, de la pratique et une formation adaptée. Une formation productivité permet d’acquérir des outils concrets pour mieux gérer son temps, sa concentration et sa charge mentale, autant d’éléments essentiels à la performance durable.
La concentration est devenue une ressource rare. Sollicitations continues, notifications, réunions qui s’enchaînent… la dispersion est devenue la norme. Or, sans maîtrise de son attention, impossible d’être efficace.
La formation NUMA sur la gestion du temps et de l’énergie propose une approche simple et pragmatique : reprendre le contrôle sur sa semaine et protéger ses temps de concentration. Les participants apprennent à distinguer les tâches qui demandent un travail approfondi (“deep work”) de celles qui relèvent du quotidien opérationnel. Ils découvrent aussi comment structurer leur agenda, faire des choix intentionnels, et dire non avec assertivité quand une demande ne sert pas les priorités.
C’est une compétence clé pour les managers, les experts métiers et tous ceux qui souhaitent retrouver un équilibre entre efficacité et confort de travail.
La première étape vers une productivité durable consiste à mettre en place des rituels organisationnels. Identifier les temps récurrents et les inscrire à l’avance dans son agenda permet de mieux répartir son énergie et de stabiliser son rythme de travail.
Les réunions d’équipe, les points hebdomadaires ou les sessions transverses sont planifiés à des moments précis, ce qui évite la surcharge imprévue. Mais la vraie clé réside dans la mise en place de plages de travail individuel. Ces créneaux “deep work” permettent de se concentrer sur des dossiers stratégiques, sans interruption.
En parallèle, réserver des moments de disponibilité volontaire — par exemple pour échanger avec ses collègues ou traiter des urgences — aide à garder de la souplesse tout en restant maître de son emploi du temps. Ces micro-ajustements, simples mais réguliers, constituent une véritable hygiène de productivité.
Prendre vingt minutes chaque semaine pour planifier son agenda peut transformer son efficacité. Que ce soit le vendredi après-midi ou le lundi matin, ce rituel de planification permet de mieux comprendre ses priorités, d’identifier les points de vigilance et de préparer la semaine avec lucidité.
Cette action concrète favorise une gestion plus fluide de la charge de travail : on choisit à l’avance les moments dédiés à la réflexion, on anticipe les réunions essentielles et on élimine celles qui n’apportent pas de valeur.
Planifier, c’est aussi un moyen de préserver sa santé mentale : en clarifiant ses engagements, on évite la sensation d’urgence permanente. Ce rituel devient une respiration stratégique au service d’un travail plus équilibré et plus aligné.
Tout ne peut pas être urgent, ni important. Pourtant, dans la réalité, les sollicitations s’accumulent et l’on finit souvent par subir plutôt que choisir. La formation NUMA sur la priorisation apprend à arbitrer en conscience : décider où concentrer ses efforts, et où dire stop.
Ce programme s’adresse autant aux équipes qu’aux managers. Il les aide à clarifier leurs priorités collectives et à définir une stratégie réaliste. Prioriser, c’est accepter de renoncer à certaines choses pour réussir celles qui comptent le plus.
Cette compétence devient un levier majeur de performance, surtout dans les organisations où la réactivité est valorisée au détriment de la réflexion. En se formant à la priorisation, les collaborateurs gagnent en discernement et en efficacité opérationnelle.
Prioriser à l’échelle d’une équipe, c’est d’abord mettre en cohérence les efforts avec la stratégie de l’entreprise. Cela suppose de poser les bonnes questions : Quel projet crée le plus de valeur ? Où se trouvent les freins actuels ? Quels sujets doivent être mis en pause ?
Les formations NUMA accompagnent les équipes dans cette mise en œuvre collective. Elles leur apprennent à fixer des objectifs clairs, à revoir régulièrement leurs arbitrages et à éviter la dispersion. En pratique, les équipes qui maîtrisent la priorisation collective développent une véritable culture d’entreprise orientée impact. Elles gagnent en fluidité, en alignement et en performance à long terme.
Sur le plan individuel, prioriser, c’est apprendre à choisir là où l’on crée le plus de valeur. Cela demande du courage et de la clarté.
Les collaborateurs formés à la priorisation savent communiquer leurs priorités à leur manager et à leurs collègues, rendre leur agenda visible et protéger leurs moments de focus. Ils apprennent également à identifier les activités à faible valeur ajoutée pour se recentrer sur l’essentiel.
Dire non à une réunion inutile ou à une demande mal cadrée ne signifie pas se désengager. C’est au contraire faire preuve de professionnalisme, en assumant une gestion mature de son temps et de son énergie. Ce savoir-faire renforce la confiance, l’autonomie et la contribution réelle de chacun.
Les réunions sont souvent le premier frein à la productivité. Trop longues, trop fréquentes ou mal préparées, elles diluent l’énergie collective. La formation NUMA “Réunions moins mais mieux” apprend à rendre les temps collectifs plus utiles et plus engageants.
Les participants découvrent comment limiter les réunions non essentielles, repenser les formats (messages vocaux, échanges asynchrones, points rapides) et structurer les réunions vraiment nécessaires. Ils s’exercent aussi à préparer leurs réunions efficacement : définir un objectif clair, inviter les bonnes personnes, cadrer la durée et clarifier la décision attendue. Cette approche allège les agendas, améliore la qualité des échanges et redonne du sens au travail collectif. Moins de réunions, mais mieux préparées, c’est du temps retrouvé pour créer, réfléchir et décider.
La productivité n’est pas un réflexe, c’est une compétence professionnelle à part entière. Elle se développe avec de la méthode, de la pratique et une formation structurée. Une formation productivité permet de transformer sa manière de travailler, d’optimiser sa gestion du temps et d’adopter un rythme soutenable à long terme.
Les formations NUMA offrent un cadre concret, orienté terrain, pour apprendre à mieux prioriser, à mieux gérer son énergie et à renforcer la performance individuelle et collective. En fin de compte, se former à la productivité, c’est investir dans une performance humaine et durable, où l’efficacité ne se mesure pas au volume, mais à la valeur créée.
Dans de nombreuses entreprises, la productivité est encore perçue comme une question de volume. On croit souvent que plus on en fait, mieux c’est. Pourtant, cette vision est trompeuse. Être productif ne consiste pas à faire davantage, mais à mieux utiliser son temps, son énergie et son attention. La vraie productivité repose sur trois piliers : la qualité du travail réalisé, son alignement avec les priorités de l’entreprise et la gestion efficace des ressources. Gagner en productivité, c’est donc apprendre à travailler mieux, à faire ce qui a du sens, et à éviter de disperser ses efforts.
Ces compétences ne s’improvisent pas : elles se développent avec de la méthode, de la pratique et une formation adaptée. Une formation productivité permet d’acquérir des outils concrets pour mieux gérer son temps, sa concentration et sa charge mentale, autant d’éléments essentiels à la performance durable.
La concentration est devenue une ressource rare. Sollicitations continues, notifications, réunions qui s’enchaînent… la dispersion est devenue la norme. Or, sans maîtrise de son attention, impossible d’être efficace.
La formation NUMA sur la gestion du temps et de l’énergie propose une approche simple et pragmatique : reprendre le contrôle sur sa semaine et protéger ses temps de concentration. Les participants apprennent à distinguer les tâches qui demandent un travail approfondi (“deep work”) de celles qui relèvent du quotidien opérationnel. Ils découvrent aussi comment structurer leur agenda, faire des choix intentionnels, et dire non avec assertivité quand une demande ne sert pas les priorités.
C’est une compétence clé pour les managers, les experts métiers et tous ceux qui souhaitent retrouver un équilibre entre efficacité et confort de travail.
La première étape vers une productivité durable consiste à mettre en place des rituels organisationnels. Identifier les temps récurrents et les inscrire à l’avance dans son agenda permet de mieux répartir son énergie et de stabiliser son rythme de travail.
Les réunions d’équipe, les points hebdomadaires ou les sessions transverses sont planifiés à des moments précis, ce qui évite la surcharge imprévue. Mais la vraie clé réside dans la mise en place de plages de travail individuel. Ces créneaux “deep work” permettent de se concentrer sur des dossiers stratégiques, sans interruption.
En parallèle, réserver des moments de disponibilité volontaire — par exemple pour échanger avec ses collègues ou traiter des urgences — aide à garder de la souplesse tout en restant maître de son emploi du temps. Ces micro-ajustements, simples mais réguliers, constituent une véritable hygiène de productivité.
Prendre vingt minutes chaque semaine pour planifier son agenda peut transformer son efficacité. Que ce soit le vendredi après-midi ou le lundi matin, ce rituel de planification permet de mieux comprendre ses priorités, d’identifier les points de vigilance et de préparer la semaine avec lucidité.
Cette action concrète favorise une gestion plus fluide de la charge de travail : on choisit à l’avance les moments dédiés à la réflexion, on anticipe les réunions essentielles et on élimine celles qui n’apportent pas de valeur.
Planifier, c’est aussi un moyen de préserver sa santé mentale : en clarifiant ses engagements, on évite la sensation d’urgence permanente. Ce rituel devient une respiration stratégique au service d’un travail plus équilibré et plus aligné.
Tout ne peut pas être urgent, ni important. Pourtant, dans la réalité, les sollicitations s’accumulent et l’on finit souvent par subir plutôt que choisir. La formation NUMA sur la priorisation apprend à arbitrer en conscience : décider où concentrer ses efforts, et où dire stop.
Ce programme s’adresse autant aux équipes qu’aux managers. Il les aide à clarifier leurs priorités collectives et à définir une stratégie réaliste. Prioriser, c’est accepter de renoncer à certaines choses pour réussir celles qui comptent le plus.
Cette compétence devient un levier majeur de performance, surtout dans les organisations où la réactivité est valorisée au détriment de la réflexion. En se formant à la priorisation, les collaborateurs gagnent en discernement et en efficacité opérationnelle.
Prioriser à l’échelle d’une équipe, c’est d’abord mettre en cohérence les efforts avec la stratégie de l’entreprise. Cela suppose de poser les bonnes questions : Quel projet crée le plus de valeur ? Où se trouvent les freins actuels ? Quels sujets doivent être mis en pause ?
Les formations NUMA accompagnent les équipes dans cette mise en œuvre collective. Elles leur apprennent à fixer des objectifs clairs, à revoir régulièrement leurs arbitrages et à éviter la dispersion. En pratique, les équipes qui maîtrisent la priorisation collective développent une véritable culture d’entreprise orientée impact. Elles gagnent en fluidité, en alignement et en performance à long terme.
Sur le plan individuel, prioriser, c’est apprendre à choisir là où l’on crée le plus de valeur. Cela demande du courage et de la clarté.
Les collaborateurs formés à la priorisation savent communiquer leurs priorités à leur manager et à leurs collègues, rendre leur agenda visible et protéger leurs moments de focus. Ils apprennent également à identifier les activités à faible valeur ajoutée pour se recentrer sur l’essentiel.
Dire non à une réunion inutile ou à une demande mal cadrée ne signifie pas se désengager. C’est au contraire faire preuve de professionnalisme, en assumant une gestion mature de son temps et de son énergie. Ce savoir-faire renforce la confiance, l’autonomie et la contribution réelle de chacun.
Les réunions sont souvent le premier frein à la productivité. Trop longues, trop fréquentes ou mal préparées, elles diluent l’énergie collective. La formation NUMA “Réunions moins mais mieux” apprend à rendre les temps collectifs plus utiles et plus engageants.
Les participants découvrent comment limiter les réunions non essentielles, repenser les formats (messages vocaux, échanges asynchrones, points rapides) et structurer les réunions vraiment nécessaires. Ils s’exercent aussi à préparer leurs réunions efficacement : définir un objectif clair, inviter les bonnes personnes, cadrer la durée et clarifier la décision attendue. Cette approche allège les agendas, améliore la qualité des échanges et redonne du sens au travail collectif. Moins de réunions, mais mieux préparées, c’est du temps retrouvé pour créer, réfléchir et décider.
La productivité n’est pas un réflexe, c’est une compétence professionnelle à part entière. Elle se développe avec de la méthode, de la pratique et une formation structurée. Une formation productivité permet de transformer sa manière de travailler, d’optimiser sa gestion du temps et d’adopter un rythme soutenable à long terme.
Les formations NUMA offrent un cadre concret, orienté terrain, pour apprendre à mieux prioriser, à mieux gérer son énergie et à renforcer la performance individuelle et collective. En fin de compte, se former à la productivité, c’est investir dans une performance humaine et durable, où l’efficacité ne se mesure pas au volume, mais à la valeur créée.
Le meilleur moyen de gagner en productivité et de développer les bonnes compétences de priorisation, de focalisation pour mieux gérer son temps et son énergie mais aussi de rendre ses réunions plus efficaces.
Le meilleur allié de la productivité, c’est la focalisation. Pour cela, il faut savoir organiser vos semaines pour optimiser votre temps et protéger votre concentration, et cela passe par deux points essentiels.
Le meilleur allié d’une entreprise pour améliorer la productivité de ses collaborateurs est de les former à des bonnes pratiques de priorisation : savoir prioriser collectivement et personnellement ; de focalisation pour mieux gérer son temps et son énergie ; de gestion des réunions pour moins de réunions mais plus efficaces.
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