Rencontre avec Marie-Hélène Mioche

21/5/2025
Formation
Interview
5min
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Rencontre avec Marie-Hélène Mioche

Après une carrière dans le bâtiment et les télécoms puis  en  agences de communication, où elle a évolué jusqu’au poste de directrice générale adjointe, Marie-Hélène Mioche a choisi de se réorienter vers le coaching et la formation.

Depuis maintenant cinq ans, elle accompagne les managers et dirigeants dans le développement de leurs compétences, notamment autour de la posture managériale, de la prise de parole et de l’intelligence émotionnelle.

Coach et formatrice indépendante, elle collabore avec NUMA depuis 2021. Elle y a animé plus de 300 workshops, auprès de clients tels qu’Orange, Total, la MAIF ou Decathlon.

Peux-tu nous en dire plus sur ton parcours ? 

Je suis ingénieure de formation, diplômée de l’INSA Lyon, avec un double cursus en marketing industriel et stratégie d’entreprise. Assez vite, j’ai ressenti le besoin d’élargir ma vision de l’entreprise, au-delà de l’approche purement technique.

J’ai travaillé en marketing et commercial dans le BtoB, dans l’univers de l’outillage pour le bâtiment, puis celui des télécoms. À la suite d’un plan social, j’ai choisi de donner une nouvelle orientation à mon parcours en reprenant mes études au CELSA, avec l’objectif de me réorienter vers le conseil en communication. J’ai ensuite passé une dizaine d’années en agence, en évoluant progressivement vers des postes de management. Avant de me lancer dans le coaching, j’occupais le poste de directrice générale adjointe, à la tête d'une équipe de 20 à 40 personnes selon les projets.

Petit à petit, j’ai eu envie de me recentrer sur l’accompagnement humain, une dimension qui me plaisait beaucoup dans mon rôle de manager. J’ai donc quitté le monde de la communication pour me former au coaching professionnel à l’École de Coaching de Paris, tout en lançant un projet entrepreneurial autour du développement personnel.

Quels sont tes domaines d’expertise ? 

J’accompagne principalement les managers, les managers de managers et les dirigeants, que ce soit dans des PME ou des grands groupes.

En coaching, j’interviens beaucoup sur des problématiques de posture, de prise de parole en public et de gestion des émotions. D’ailleurs, je me suis formée en intelligence émotionnelle pour approfondir cet axe. Mon approche est très personnalisée : je pars toujours des enjeux et du vécu de la personne.

Comment et pourquoi avoir choisi de collaborer avec NUMA ? 

J’ai connu NUMA grâce à Valérie Abehsera, une coach qui m’a recommandée. Dès le début, j’ai eu un super feeling avec l’équipe qui m’a tout de suite fait passer un test.

J’ai trouvé ça très intéressant de passer ce test en conditions réelles, sur un extrait de formation. Cet exercice permet de se projeter facilement dans l'approche pédagogique et la philosophie NUMA.

Ce qui m’a aussi beaucoup plu, c’est la manière dont NUMA sélectionne ses coachs : ce sont avant tout des professionnels qui ont une vraie expérience terrain, pas uniquement des formateurs théoriques. Ça change tout dans la façon d’accompagner les participants.

Comment intègres-tu ton expérience professionnelle pour engager les participants ? 

J’utilise énormément mon vécu, notamment les moments difficiles que j’ai traversés en tant que manager. Je montre aussi que la perfection n’existe pas : en formation, je n’hésite pas à raconter mes plus gros échecs pour libérer la parole. Ça décomplexe les participants et ça les pousse à oser partager leurs propres expériences.

Enfin, j’essaie d’apporter de la nuance : oui, le rôle du manager est clé, mais le collaborateur aussi a sa part de responsabilité. J’aime remettre de la douceur là où souvent, on demande beaucoup (trop) aux managers.

Quelle est la clé de succès d’une formation réussie ? 

Tout commence par l’envie d’être là. Ensuite, c’est au formateur de créer un climat sécurisant où chacun se sent libre de participer. Plus les participants posent des questions, partagent des cas concrets, plus la formation devient vivante et impactante. L’intelligence collective fait vraiment la différence.

Peux-tu nous partager une technique ou méthode que tu utilises régulièrement dans tes formations ? 

Je mise beaucoup sur l’authenticité. En partageant mes propres échecs ou moments de galère, je crée un espace où chacun se sent autorisé à être vulnérable.

Et concrètement, je vais chercher les participants : je pose des questions, je les interpelle, j’encourage chacun à s’exprimer. Ça dynamise l’atelier et ça nourrit les échanges.

Sur le bureau de Marie-Hélène

“Quand on tombe amoureux on se relève attaché”, Essai de Boris Cyrulnik

Après une carrière dans le bâtiment et les télécoms puis  en  agences de communication, où elle a évolué jusqu’au poste de directrice générale adjointe, Marie-Hélène Mioche a choisi de se réorienter vers le coaching et la formation.

Depuis maintenant cinq ans, elle accompagne les managers et dirigeants dans le développement de leurs compétences, notamment autour de la posture managériale, de la prise de parole et de l’intelligence émotionnelle.

Coach et formatrice indépendante, elle collabore avec NUMA depuis 2021. Elle y a animé plus de 300 workshops, auprès de clients tels qu’Orange, Total, la MAIF ou Decathlon.

Peux-tu nous en dire plus sur ton parcours ? 

Je suis ingénieure de formation, diplômée de l’INSA Lyon, avec un double cursus en marketing industriel et stratégie d’entreprise. Assez vite, j’ai ressenti le besoin d’élargir ma vision de l’entreprise, au-delà de l’approche purement technique.

J’ai travaillé en marketing et commercial dans le BtoB, dans l’univers de l’outillage pour le bâtiment, puis celui des télécoms. À la suite d’un plan social, j’ai choisi de donner une nouvelle orientation à mon parcours en reprenant mes études au CELSA, avec l’objectif de me réorienter vers le conseil en communication. J’ai ensuite passé une dizaine d’années en agence, en évoluant progressivement vers des postes de management. Avant de me lancer dans le coaching, j’occupais le poste de directrice générale adjointe, à la tête d'une équipe de 20 à 40 personnes selon les projets.

Petit à petit, j’ai eu envie de me recentrer sur l’accompagnement humain, une dimension qui me plaisait beaucoup dans mon rôle de manager. J’ai donc quitté le monde de la communication pour me former au coaching professionnel à l’École de Coaching de Paris, tout en lançant un projet entrepreneurial autour du développement personnel.

Quels sont tes domaines d’expertise ? 

J’accompagne principalement les managers, les managers de managers et les dirigeants, que ce soit dans des PME ou des grands groupes.

En coaching, j’interviens beaucoup sur des problématiques de posture, de prise de parole en public et de gestion des émotions. D’ailleurs, je me suis formée en intelligence émotionnelle pour approfondir cet axe. Mon approche est très personnalisée : je pars toujours des enjeux et du vécu de la personne.

Comment et pourquoi avoir choisi de collaborer avec NUMA ? 

J’ai connu NUMA grâce à Valérie Abehsera, une coach qui m’a recommandée. Dès le début, j’ai eu un super feeling avec l’équipe qui m’a tout de suite fait passer un test.

J’ai trouvé ça très intéressant de passer ce test en conditions réelles, sur un extrait de formation. Cet exercice permet de se projeter facilement dans l'approche pédagogique et la philosophie NUMA.

Ce qui m’a aussi beaucoup plu, c’est la manière dont NUMA sélectionne ses coachs : ce sont avant tout des professionnels qui ont une vraie expérience terrain, pas uniquement des formateurs théoriques. Ça change tout dans la façon d’accompagner les participants.

Comment intègres-tu ton expérience professionnelle pour engager les participants ? 

J’utilise énormément mon vécu, notamment les moments difficiles que j’ai traversés en tant que manager. Je montre aussi que la perfection n’existe pas : en formation, je n’hésite pas à raconter mes plus gros échecs pour libérer la parole. Ça décomplexe les participants et ça les pousse à oser partager leurs propres expériences.

Enfin, j’essaie d’apporter de la nuance : oui, le rôle du manager est clé, mais le collaborateur aussi a sa part de responsabilité. J’aime remettre de la douceur là où souvent, on demande beaucoup (trop) aux managers.

Quelle est la clé de succès d’une formation réussie ? 

Tout commence par l’envie d’être là. Ensuite, c’est au formateur de créer un climat sécurisant où chacun se sent libre de participer. Plus les participants posent des questions, partagent des cas concrets, plus la formation devient vivante et impactante. L’intelligence collective fait vraiment la différence.

Peux-tu nous partager une technique ou méthode que tu utilises régulièrement dans tes formations ? 

Je mise beaucoup sur l’authenticité. En partageant mes propres échecs ou moments de galère, je crée un espace où chacun se sent autorisé à être vulnérable.

Et concrètement, je vais chercher les participants : je pose des questions, je les interpelle, j’encourage chacun à s’exprimer. Ça dynamise l’atelier et ça nourrit les échanges.

Sur le bureau de Marie-Hélène

“Quand on tombe amoureux on se relève attaché”, Essai de Boris Cyrulnik

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