Coach, formatrice et facilitatrice, Émilie Ribo accompagne les managers avec énergie, humour et conviction. Après dix années dans des fonctions commerciales, elle opère un virage décisif vers le coaching en pleine période COVID. Elle est aujourd’hui diplômée d’État en coaching (Paris 8), certifiée en PNL, en modèles de personnalité (ComColors) et intervient comme coach, formatrice et facilitatrice auprès de différentes entreprises telles que Somfy, Total Énergie ou encore Givenchy. Ses sujets de prédilections ? La communication interpersonnelle, la posture managériale ou encore l’égalité professionnelle.
J’ai passé près de dix ans dans le commerce, en évoluant dans des environnements très variés : grands groupes, start-up, à l’international et en France. J’y ai occupé des postes de contributrice individuelle, de responsable clientèle (avec du management transverse) puis de manager d’équipe. Ces expériences, exigeantes et parfois difficiles, ont largement façonné mon approche du management.
À deux moments clés de mon parcours, j’ai eu la chance d’être accompagnée par un coach : d’abord en start-up tech, où j’étais la seule femme commerciale et où le coaching m’a aidée à comprendre les dynamiques systémiques et à reprendre confiance ; puis pendant le COVID, au sein d’un grand groupe américain : cette parenthèse m’a aidée à clarifier ce qui comptait vraiment pour moi.
C’est ce deuxième coaching qui m’a donné envie de me reconvertir. J’ai donc suivi une formation universitaire en coaching à Paris 8 pendant 18 mois, tout en testant cette nouvelle voie. Très vite, j’ai su que j’étais à ma place : je me sentais légitime, animée, alignée. Il y a maintenant plus de trois ans que j’ai lancé mon activité et que j'exerce à mon compte avec passion.
Je travaille beaucoup sur le leadership, l’assertivité, les clés de communication et la négociation - mon ancien terrain de jeu en tant que commerciale. Avec NUMA, j'interviens principalement sur les populations managériales, de jeunes managers qui découvrent le rôle à managers de managers confrontés à d’autres enjeux de posture. Aussi, j’anime des programmes comme Femmes Leaders, un sujet qui me tient particulièrement à cœur. En effet, je suis engagée sur les questions d’égalité femmes-hommes et interviens via des conférences et ateliers en mixité, je suis notamment formée à la Fresque du sexisme, que j’utilise en entreprise pour aborder ces sujets de façon ludique et impactante.
J’ai connu NUMA par le biais d'une amie. J’ai tout de suite accroché avec votre approche : la mission de l’entreprise, la qualité des contenus, le niveau d’exigence et la bienveillance des équipes. Et surtout, des ateliers très bien conçus, qui parlent immédiatement aux participants. Quand on est coach, c’est un vrai plaisir.
Je partage beaucoup mes échecs, surtout au début. Cela crée un espace de confiance, un climat où chacun peut s’exprimer librement. Ensuite, je m’appuie aussi sur mes réussites, mais toujours avec cette idée : une formation, ce n’est pas un moment où on se montre sous son meilleur jour, c’est un moment pour explorer ses doutes, expérimenter, progresser. Mon vécu dans des environnements très différents me permet de faire des ponts et de rendre les contenus concrets.
Un cadre clair. C'est essentiel, en particulier en intra-entreprise où les participants peuvent avoir des enjeux communs. Poser un cadre distinct de celui qu’ils vivent au quotidien permet de créer les conditions d’échanges plus authentiques et sécurisants.
Ensuite, c’est le rythme et la dynamique : enchaîner les formats, faire vivre le collectif, susciter les réactions. Et puis bien sûr, le fond : chez NUMA, les cas sont ludiques, ça touche tout de suite les participants. Même en visio, ça marche ! Et souvent, ceux qui doutaient au départ finissent par dire qu’ils ont été embarqués de bout en bout.
J’utilise beaucoup l’humour pour créer du lien et maintenir une bonne dynamique. Quand je sens que l’énergie baisse, je n’hésite pas à poser des questions décalées, à rebondir sur ce qu’il vient de se passer, et à “mettre les pieds dans le plat” pour reconnecter tout le monde.
Entre deux sessions, je propose souvent de petits défis inspirés de nos échanges précédents : tester une bonne pratique, expérimenter un outil, oser un changement dans sa posture… Ça permet de créer du lien, de donner du rythme au parcours et de maintenir l’engagement dans la durée.
Enfin, j’accorde beaucoup d’attention à la dynamique de groupe. Je repère rapidement la posture de chacun, et je veille à ce que tout le monde trouve sa place. Cela permet de créer une atmosphère équilibrée et inclusive, propice à l’engagement de chacun.
Coach, formatrice et facilitatrice, Émilie Ribo accompagne les managers avec énergie, humour et conviction. Après dix années dans des fonctions commerciales, elle opère un virage décisif vers le coaching en pleine période COVID. Elle est aujourd’hui diplômée d’État en coaching (Paris 8), certifiée en PNL, en modèles de personnalité (ComColors) et intervient comme coach, formatrice et facilitatrice auprès de différentes entreprises telles que Somfy, Total Énergie ou encore Givenchy. Ses sujets de prédilections ? La communication interpersonnelle, la posture managériale ou encore l’égalité professionnelle.
J’ai passé près de dix ans dans le commerce, en évoluant dans des environnements très variés : grands groupes, start-up, à l’international et en France. J’y ai occupé des postes de contributrice individuelle, de responsable clientèle (avec du management transverse) puis de manager d’équipe. Ces expériences, exigeantes et parfois difficiles, ont largement façonné mon approche du management.
À deux moments clés de mon parcours, j’ai eu la chance d’être accompagnée par un coach : d’abord en start-up tech, où j’étais la seule femme commerciale et où le coaching m’a aidée à comprendre les dynamiques systémiques et à reprendre confiance ; puis pendant le COVID, au sein d’un grand groupe américain : cette parenthèse m’a aidée à clarifier ce qui comptait vraiment pour moi.
C’est ce deuxième coaching qui m’a donné envie de me reconvertir. J’ai donc suivi une formation universitaire en coaching à Paris 8 pendant 18 mois, tout en testant cette nouvelle voie. Très vite, j’ai su que j’étais à ma place : je me sentais légitime, animée, alignée. Il y a maintenant plus de trois ans que j’ai lancé mon activité et que j'exerce à mon compte avec passion.
Je travaille beaucoup sur le leadership, l’assertivité, les clés de communication et la négociation - mon ancien terrain de jeu en tant que commerciale. Avec NUMA, j'interviens principalement sur les populations managériales, de jeunes managers qui découvrent le rôle à managers de managers confrontés à d’autres enjeux de posture. Aussi, j’anime des programmes comme Femmes Leaders, un sujet qui me tient particulièrement à cœur. En effet, je suis engagée sur les questions d’égalité femmes-hommes et interviens via des conférences et ateliers en mixité, je suis notamment formée à la Fresque du sexisme, que j’utilise en entreprise pour aborder ces sujets de façon ludique et impactante.
J’ai connu NUMA par le biais d'une amie. J’ai tout de suite accroché avec votre approche : la mission de l’entreprise, la qualité des contenus, le niveau d’exigence et la bienveillance des équipes. Et surtout, des ateliers très bien conçus, qui parlent immédiatement aux participants. Quand on est coach, c’est un vrai plaisir.
Je partage beaucoup mes échecs, surtout au début. Cela crée un espace de confiance, un climat où chacun peut s’exprimer librement. Ensuite, je m’appuie aussi sur mes réussites, mais toujours avec cette idée : une formation, ce n’est pas un moment où on se montre sous son meilleur jour, c’est un moment pour explorer ses doutes, expérimenter, progresser. Mon vécu dans des environnements très différents me permet de faire des ponts et de rendre les contenus concrets.
Un cadre clair. C'est essentiel, en particulier en intra-entreprise où les participants peuvent avoir des enjeux communs. Poser un cadre distinct de celui qu’ils vivent au quotidien permet de créer les conditions d’échanges plus authentiques et sécurisants.
Ensuite, c’est le rythme et la dynamique : enchaîner les formats, faire vivre le collectif, susciter les réactions. Et puis bien sûr, le fond : chez NUMA, les cas sont ludiques, ça touche tout de suite les participants. Même en visio, ça marche ! Et souvent, ceux qui doutaient au départ finissent par dire qu’ils ont été embarqués de bout en bout.
J’utilise beaucoup l’humour pour créer du lien et maintenir une bonne dynamique. Quand je sens que l’énergie baisse, je n’hésite pas à poser des questions décalées, à rebondir sur ce qu’il vient de se passer, et à “mettre les pieds dans le plat” pour reconnecter tout le monde.
Entre deux sessions, je propose souvent de petits défis inspirés de nos échanges précédents : tester une bonne pratique, expérimenter un outil, oser un changement dans sa posture… Ça permet de créer du lien, de donner du rythme au parcours et de maintenir l’engagement dans la durée.
Enfin, j’accorde beaucoup d’attention à la dynamique de groupe. Je repère rapidement la posture de chacun, et je veille à ce que tout le monde trouve sa place. Cela permet de créer une atmosphère équilibrée et inclusive, propice à l’engagement de chacun.
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