Dans le monde du travail aujourd'hui, les organisations doivent s'adapter rapidement. Elles doivent travailler en mode projet, collaborer à distance ou de manière transversale. Il est clair que les compétences relationnelles sont tout aussi importantes que les compétences techniques. Ces savoir-faire sont souvent invisibles mais essentiels : ils conditionnent la qualité de la communication, la gestion des tensions, le niveau de confiance et la fluidité du travail collectif.
Voici 4 compétences relationnelles majeures à cultiver pour mieux collaborer, accompagnées d’exemples pratiques, afin d’ancrer ces notions dans le quotidien des équipes.
L’écoute active est la première des compétences relationnelles. C’est la capacité à être vraiment présent à ce que l’autre dit, sans interrompre, sans juger, sans anticiper. Elle repose sur une intention sincère de comprendre, pas seulement de répondre.
Trop souvent, on écoute pour préparer sa réplique. L’écoute active, au contraire, suppose de suspendre ses automatismes pour mieux saisir le point de vue de l’autre, en reformulant ou en prenant des notes – ce qui est essentiel pour créer une relation de travail saine et durable.
Exemple : Lors d’un atelier de co-construction, l'animatrice reformule la proposition d’un participant : « Si je comprends bien, tu proposes de valider la maquette avec les utilisateurs avant de passer au développement ? »
La personne se sent écoutée, l’équipe gagne en clarté. En entretien individuel, un manager laisse un silence avant de répondre, montrant qu’il a bien pris en compte le propos de son collaborateur.
Le modèle DISC permet de mieux cerner les types de comportements :
Il existe d’autres modèles, comme le MBTI, qui aident à mieux comprendre les différences entre profils extravertis et introvertis. Associée à une écoute active, cette connaissance des personnalités et des modes de fonctionnement renforce la confiance, la coopération et la qualité des décisions collectives.
Dans une équipe, mal dire les choses peut être aussi problématique que ne pas les dire du tout. Formuler ses idées de façon claire, structurée et respectueuse est une compétence essentielle à la qualité du travail collectif.
La clarté dans l’expression, c’est éviter les sous-entendus, poser ses besoins, expliquer ses attentes, tout en respectant le cadre relationnel. Cela permet de gagner du temps, d’éviter les frustrations, et d’aligner tout le monde.
Quelques exemples :
Ces formulations posent un cadre explicite, sans brusquer l’interlocuteur.
Quand les membres d'une équipe communiquent avec clarté et bienveillance, ils limitent les malentendus et allègent la charge mentale. Cela crée un environnement propice à l’autonomie et au développement des compétences humaines. Cette qualité relationnelle renforce l’efficacité collective, sans ajouter de tension.
Dans une équipe engagée, les tensions sont inévitables : désaccords de fond, objectifs contradictoires, différences de méthodes. Le danger n’est pas le conflit en soi, mais sa non-gestion : quand on l’évite, il se transforme en ressentiment ou en retrait. Savoir faire face à un désaccord, c’est d’abord oser l’aborder avec ouverture. Cela demande ensuite de poser un cadre clair à la discussion, puis de chercher une décision partagée. C’est une compétence relationnelle avancée, mais que l’on peut développer avec de la pratique.
Quelques exemples :
COIN est un cadre simple pour exprimer une tension de manière factuelle et constructive :
Exemple : « Lors de la réunion de jeudi (C), tu as interrompu à plusieurs reprises l’équipe support (O). Ça a créé de la frustration et freiné la discussion (I). Est-ce qu’on peut trouver ensemble une autre manière d’organiser les prises de parole ? (N) »
Savoir gérer les tensions avec des outils comme COIN, c’est faire preuve de maturité relationnelle, et développer vos compétences relationnelles au service du collectif.
Et pour aller plus loin : découvrez le meilleur de nos ressources pour gérer les situations de stress et de conflits dans vos équipes.
La reconnaissance est une compétence relationnelle sous-estimée. Pourtant, elle constitue un moteur d’engagement, de motivation, et de sentiment d’appartenance. Reconnaître un effort, un progrès, une attitude, c’est encourager à continuer et à s’investir. À l’inverse, son absence crée du découragement, voire du désengagement silencieux.
Quelques exemples :
Ces marques de reconnaissance renforcent les qualités humaines que l’on veut voir perdurer.
Intégrer la reconnaissance dans vos pratiques, c’est renforcer la capacité à travailler en équipe, favoriser la motivation durable, et le développement de liens solides entre collègues, essentiels dans les dynamiques d’équipe performantes.
Les compétences relationnelles ne sont pas secondaires. Elles sont stratégiques. Miser sur l’humain, c’est miser sur une équipe plus résiliente, collaborative et durable.
Elles font toute la différence entre une équipe qui fonctionne en silo et une équipe qui avance ensemble, dans un climat de confiance, de clarté et d’engagement.
Pour récapituler, les 4 piliers abordés ici :
Chez NUMA, nous aidons les entreprises à développer ces compétences humaines. Parce que les savoir-faire relationnels sont au cœur de la transformation des organisations.
Dans le monde du travail aujourd'hui, les organisations doivent s'adapter rapidement. Elles doivent travailler en mode projet, collaborer à distance ou de manière transversale. Il est clair que les compétences relationnelles sont tout aussi importantes que les compétences techniques. Ces savoir-faire sont souvent invisibles mais essentiels : ils conditionnent la qualité de la communication, la gestion des tensions, le niveau de confiance et la fluidité du travail collectif.
Voici 4 compétences relationnelles majeures à cultiver pour mieux collaborer, accompagnées d’exemples pratiques, afin d’ancrer ces notions dans le quotidien des équipes.
L’écoute active est la première des compétences relationnelles. C’est la capacité à être vraiment présent à ce que l’autre dit, sans interrompre, sans juger, sans anticiper. Elle repose sur une intention sincère de comprendre, pas seulement de répondre.
Trop souvent, on écoute pour préparer sa réplique. L’écoute active, au contraire, suppose de suspendre ses automatismes pour mieux saisir le point de vue de l’autre, en reformulant ou en prenant des notes – ce qui est essentiel pour créer une relation de travail saine et durable.
Exemple : Lors d’un atelier de co-construction, l'animatrice reformule la proposition d’un participant : « Si je comprends bien, tu proposes de valider la maquette avec les utilisateurs avant de passer au développement ? »
La personne se sent écoutée, l’équipe gagne en clarté. En entretien individuel, un manager laisse un silence avant de répondre, montrant qu’il a bien pris en compte le propos de son collaborateur.
Le modèle DISC permet de mieux cerner les types de comportements :
Il existe d’autres modèles, comme le MBTI, qui aident à mieux comprendre les différences entre profils extravertis et introvertis. Associée à une écoute active, cette connaissance des personnalités et des modes de fonctionnement renforce la confiance, la coopération et la qualité des décisions collectives.
Dans une équipe, mal dire les choses peut être aussi problématique que ne pas les dire du tout. Formuler ses idées de façon claire, structurée et respectueuse est une compétence essentielle à la qualité du travail collectif.
La clarté dans l’expression, c’est éviter les sous-entendus, poser ses besoins, expliquer ses attentes, tout en respectant le cadre relationnel. Cela permet de gagner du temps, d’éviter les frustrations, et d’aligner tout le monde.
Quelques exemples :
Ces formulations posent un cadre explicite, sans brusquer l’interlocuteur.
Quand les membres d'une équipe communiquent avec clarté et bienveillance, ils limitent les malentendus et allègent la charge mentale. Cela crée un environnement propice à l’autonomie et au développement des compétences humaines. Cette qualité relationnelle renforce l’efficacité collective, sans ajouter de tension.
Dans une équipe engagée, les tensions sont inévitables : désaccords de fond, objectifs contradictoires, différences de méthodes. Le danger n’est pas le conflit en soi, mais sa non-gestion : quand on l’évite, il se transforme en ressentiment ou en retrait. Savoir faire face à un désaccord, c’est d’abord oser l’aborder avec ouverture. Cela demande ensuite de poser un cadre clair à la discussion, puis de chercher une décision partagée. C’est une compétence relationnelle avancée, mais que l’on peut développer avec de la pratique.
Quelques exemples :
COIN est un cadre simple pour exprimer une tension de manière factuelle et constructive :
Exemple : « Lors de la réunion de jeudi (C), tu as interrompu à plusieurs reprises l’équipe support (O). Ça a créé de la frustration et freiné la discussion (I). Est-ce qu’on peut trouver ensemble une autre manière d’organiser les prises de parole ? (N) »
Savoir gérer les tensions avec des outils comme COIN, c’est faire preuve de maturité relationnelle, et développer vos compétences relationnelles au service du collectif.
Et pour aller plus loin : découvrez le meilleur de nos ressources pour gérer les situations de stress et de conflits dans vos équipes.
La reconnaissance est une compétence relationnelle sous-estimée. Pourtant, elle constitue un moteur d’engagement, de motivation, et de sentiment d’appartenance. Reconnaître un effort, un progrès, une attitude, c’est encourager à continuer et à s’investir. À l’inverse, son absence crée du découragement, voire du désengagement silencieux.
Quelques exemples :
Ces marques de reconnaissance renforcent les qualités humaines que l’on veut voir perdurer.
Intégrer la reconnaissance dans vos pratiques, c’est renforcer la capacité à travailler en équipe, favoriser la motivation durable, et le développement de liens solides entre collègues, essentiels dans les dynamiques d’équipe performantes.
Les compétences relationnelles ne sont pas secondaires. Elles sont stratégiques. Miser sur l’humain, c’est miser sur une équipe plus résiliente, collaborative et durable.
Elles font toute la différence entre une équipe qui fonctionne en silo et une équipe qui avance ensemble, dans un climat de confiance, de clarté et d’engagement.
Pour récapituler, les 4 piliers abordés ici :
Chez NUMA, nous aidons les entreprises à développer ces compétences humaines. Parce que les savoir-faire relationnels sont au cœur de la transformation des organisations.
Elles favorisent la confiance, fluidifient la communication et renforcent la cohésion d’équipe. Ces compétences permettent de mieux collaborer, prévenir les conflits et développer un environnement de travail motivant.
Dans le cadre professionnel, on distingue généralement : Les compétences techniques (savoir-faire métier) Les compétences relationnelles (écoute, communication, coopération) Les compétences organisationnelles (gestion du temps, priorisation) Les compétences émotionnelles (gestion du stress, empathie)
Une compétence relationnelle est la capacité à interagir efficacement avec les autres, à travers l’écoute, la communication claire, la gestion des tensions et la reconnaissance. Elle contribue à un climat de travail sain, basé sur la confiance et la collaboration.
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